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Pour des cons

Paroles et musique : Xavier Louvet

Tu bosses pour être le plus haut 

Tu parles bien, parles beau 

Uses des mots originaux 

Prends l’air savant 

Pour parler de l’air du temps 

 

Tu sèmes dans tes discours 

Ces invraisemblances 

Qui voudraient nier nos existences 

Tu promets mieux mais tout est faux … 

Pas dupes de tes manigances ! 

 

A vouloir tous nous prendre pour des cons 

Tu finiras au ballon 

Débarqué de ton balcon 

Tu ferais mieux de faire attention 

A ton fion ! 

 

Pour toi la démocratie 

C’est quand tout l’monde te dit oui 

Et si ça chauffe le samedi 

Planqué au lit 

T’envoies taper les bleus nuit 

 

Tandis que tu divises 

Certains s’organisent 

C’est violent mais on banalise 

La colère sourde des pauvres gens 

Vient du fond de leurs tourments  ! 

 

A vouloir tous nous prendre pour des cons 

Tu finiras au ballon 

Débarqué de ton balcon 

Tu ferais mieux de faire attention 

A ton fion ! 

Les pieds devant

Paroles : François Raffet

Musique : Martin Raffet / Xavier Louvet

Tous ces matins

Qui nous oppressent

Nous sommes des chiens

tenus en laisse

des enfants

 

Toutes ces virus

Qui nous blessent

Ces hommes qu’on fuit

Comme la peste

Et pourtant

 

On gobe tout

On ingurgite

Toutes les conneries

Qu’on nous débite

Tout le temps

 

On nous fait croire n’importe quoi

A croire qu’on est tous faits pour ça

 

Dis-moi comment on est arrivé là

Dis-moi Comment on va sortir de ça

 

Les pieds devant

Les pieds devant

  

Fuir nos névroses obsessionnelles

Chercher la cause originelle

des tourments…

 

Un Paradis artificiel

Un coin pour reposer ses ailes

Pour un temps

 

Vouloir tout et son contraire

A vivre des instants ephémeres

Trop souvent

 

Je te f’rai croire n’importe quoi

A croire que t’es accro à ca

 

Dis moi comment on est arrivé là

 Oh mais dis moi comment on va sortir de ca

 

Les pieds devant

les pieds devant

Homo Sapiens

Paroles et musique : Xavier Louvet / François Raffet

Lassés des beaux discours 

Finis les « y qua » 

Demain il f’ra pas jour 

On est là coincés 

Entassés dans un four 

A s’intoxiquer tous 

Aux métaux lourds 

 

Toi tu vantes la croissance 

Un avenir radieux 

Que prédisait la science 

Tu gères ton audience 

T’invites à la prudence 

Tandis qu’y a surpopulation dans les ambulances 

 

 T’as beau n’en faire 

Qu’à ta tête 

Tu vois 

La planète s’entete 

 

Elle veut que  

Tu t’en ailles 

Ou que tu t’arrêtes 

 

Bois ! c’est pour demain 

Fête ! c’est aujourd’hui ta fin 

Le monde que tu as pensé est assassin 

Toute l’eau que t’as souillée te le rend bien 

Danse … c’est pour demain 

Bois … oui bois à ta fin 

Ton bûcher est monté et t’es pris dans la pince 

La planète se libère de l’homo sapiens 

 

 

Il est loin 

Le premier jour  

Ou tu controlais tout 

Du haut de tes Tours 

La Terre t’a fait germer 

L’eau t’a élévé 

En toi elles avaient tant ! tant espéré 

 

Mais toi 

T’es dev’nu sourd 

A vouloir devenir l’être  

de loin le plus lourd 

T’as dégénéré 

Tu t’es cru arrivé 

Mais tu patauges dans la fange que t’as créée   

 

T’as beau n’en faire 

Qu’à ta tête 

Tu vois 

La planète s’entête 

 

Elle veut que  

Tu t’en ailles 

Ou que tu t’arrêtes 

 

   

Bois ! c’est pour demain 

Fête ! c’est aujourd’hui ta fin 

Le monde que tu as pensé est assassin 

Toute l’eau que t’as souillée te le rend bien 

Danse … c’est pour demain 

Bois … oui bois à ta fin 

Ton bûcher est monté et t’es pris dans la pince 

La vie reprend ses droits sur homo sapiens 

 

Bois 

Fête 

Danse 

Chante…  

Noémie

Paroles et musique : Xavier Louvet

J’étais jeune 

Il était cool mon petit ami ! 

J’le kiffais trop 

Il m’appelait « sa petite chérie » ! 

J’ai plongé 

Ce jour où je lui ai dit oui … 

J’avais signé 

Pour un voyage au bout de la nuit … 

 

Le masque tombe,

et je cherche encore quelle est ma faute    

Ce soir d’orage où saoul il m’a fracassé deux côtes 

Je l’crois sincère,

quand il pleure qu’il m’aime comme un fou 

Je m’y raccroche chaque fois que je prends des

coups ! 

 

J’étais belle 

Et j’aimais bien les beaux habits 

On s’est trouvés 

Il était beau, il était gentil 

J’ai plongé 

Ce jour ou je lui ai dit oui 

J’avai signé 

Pour un voyage au bout de la nuit … 

 

Finies les couleurs, je dois me draper dans le noir, 

Et si je déconne je vais l’payer quand vient le soir ... 

Sous ma tunique moi-même je n’sais plus qui je suis 

J’appelle à l’aide mais personne n’entend plus mes

cris … 

 

Je m’appelle Noémie 

Petite fille j’avais plein d’envie 

Je rêvais d’être une princesse 

Plus tard peut-être j’f’rais du top-less 

Comme toutes les filles j’bouffais la vie 

Pour aller danser entre amies 

Je suis tombée sur un abruti 

Qui transforma mes jours en nuits 

 

 

Et le soir 

Où il m’a dit que j’étais sa truie 

J’ai réagis 

J’ai décidé « c’est bon ! ça suffit !» 

Dans l’pugilat 

Je l’ai attrapé par les parties 

Je me suis enfuie 

Pour revenir avec le fusil 

 

Madame la juge m’a demandé de m’expliquer 

Devant la foule j’ai même du me déshabiller 

J’ai pris dix ans mais j’étais libre dans ma tête 

Même en prison, j’ai retrouvé le goût d’la fête 

 

Je m’appelle Noémie 

Petite fille j’avais plein d’envie 

Je rêvais d’être une princesse 

Plus tard je m’voyais en top-less 

Comme toutes les filles j’bouffais la vie 

Pour aller danser entre amies 

Je suis tombée sur un abruti 

Qui transforma mes jours en nuits 

  

Je m’appelle Nathalie, 

Amélie, Diane ou Ophélie, 

Je suis la fille que tu suis 

Peut-être celle avec qui tu vis 

Je m’appelle Marie-Chantal, 

Tombée sous les coup d’un vieux mâle 

Qui s’prenait pour Sardanapale 

Voulait qu’elle fasse ses Bacchanales 

 

Je suis Agnès, Marie, Charlotte, 

Des femmes qui aujourd’hui sont mortes 

Dans leur lit mais pas comme tout l’monde 

Victimes de mecs aux vices immondes 

Je suis Inès, Anne et Françoise 

Celles qui se lèvent et qui te toisent 

Te détectent, te traquent et te chassent 

Pour qu’une bonne fois tu te fracasses !

Fous et stupides

Paroles : François Raffet

Musique : Xavier Louvet / François Raffet

Dis moi A quoi ca sert 

De vouloir tout garder 

Voyager en première 

N’en avoir pas assez 

 

Envier la Terre entière 

Vouloir tout posséder 

Ambitions pécuniaires 

Ou Rêves d’éternité 

  

Faut il etre fou ou stupide 

Pour ne pas voir les vents tourner 

A vouloir construire sur du vide 

On voit tous les murs s’écrouler 

 

Puis doucement on dérive 

On quitte du regard l’être aimé 

Et quand la plaie est trop vive 

On sait que tout est terminé 

  

Est-ce le jour 

Ou la nuit venue 

mon âme se noie 

sans espoir de salut 

 

Est-ce de l’amour 

Cette absence qui me tue 

Sans espoir, ni retour 

tu ne m’aimes plus 

 

Est-ce le jour 

Ou la nuit venue 

mon ame se noie 

sans espoir de salut 

 

Est-ce de l’amour 

Cette absence qui me tue 

Sans espoir, ni retour 

tu ne m’aimes plus.

Rupture conventionnelle

Paroles et Musique : François Raffet

Je sollicite un entretien

Pour faire le point en quelque sorte

On sent que c’est déjà la fin

Quand plus rien ne nous transporte

Je sollicite un entretien

Préalable mais non contractuel

Non, les gamins n’en sauront rien

Tâchons d’rester professionnels

 

J’veux une rupture conventionnelle

Un protocole en béton

J’veux une rupture conventionnelle

Pas une simple séparation

 

Tu comprends après ces années

J’ai droit à des compensations

Je- veux un départ négocié

Sans préavis et sans questions

Je n’qualifierai pas d’faute grave

Tes ébats avec le voisin

Passerai l’éponge sur tes écarts

Si tu me laisses partir enfin

 

J’veux une rupture conventionnelle

Un protocole en béton

J’veux une rupture conventionnelle

Pas une simple séparation

 

J’lève ta clause de non-concurrence

Tu peux t’taper qui bon te semble

J’lève ta clause de non-concurrence

On n’a plus rien à faire ensemble

 

Quant à toi ma jeune cougar

Tu pourras exprimer ton talent

Auprès de stagiaires sur le tard

Qui profiteront de ton argent

Je veux quitter cette entreprise

Qui n’entreprenait plus rien

Je te quitte avant la crise

Avant liquidation des biens

  

J’veux une rupture conventionnelle

Un protocole en béton

J’veux une rupture conventionnelle

Pas une simple séparation

 

J’lève ta clause de non-concurrence

Tu peux t’taper qui bon te semble

J’lève ta clause de non-concurrence

On n’a plus rien à faire ensemble

 

J’veux une rupture conventionnelle

Tu peux t’taper qui bon te semble

J’veux une rupture conventionnelle

On n’a plus rien à faire ensemble

Un, deux, trois

Paroles : François Raffet

Musique : Xavier Louvet

Un grand courant d’air dans la tête 

Ouvrir les portes et les fenêtres 

Se sentir enfin libéré 

Tu avances et rien ne t’arrête 

Tu n’es plus l’esclave de son maitre 

Plus rien ne pourra t’effrayer 

 

Marcher dans ta ville 

D’un pas serein et tranquille 

Avec cette fille à tes cotés 

 

Te sentir enfin invincible 

Pouvoir regarder vers le vide 

Sans jamais tomber 

 

 

Fini les plans sur la comète 

Fini de se prendre la tête 

Le monde peut bien s’écrouler 

 

Avant que tout ca ne s’arrete 

Profitons du temps qu’il nous reste 

Pour s’amuser 

 

Marcher dans ta ville 

D’un pas serein et tranquille 

Avec cette fille à tes cotés 

 

Te sentir enfin invincible 

Pouvoir regarder vers le vide 

Sans jamais tomber 

 

  

1,2,3 j’irai dans les bois 

4,5,6 Cueillir ta cerise 

7,8,9 On fera le bœuf 

10,11,12 sur un bon vieux blues  

  

Un grand courant d’air dans la tête 

Ouvrir les portes et les fenêtres 

Se sentir enfin libéré 

Tu avances et rien ne t’arrête 

Tu n’es plus l’esclave de son maitre 

Plus rien ne pourra t’effrayer 

 

Marcher dans ta ville 

D’un pas serein et tranquille 

Toujours cette fille à tes cotés 

 

Te sentir enfin invincible 

Pouvoir regarder vers le vide 

Sans jamais tomber 

 

 

1,2,3 j’irai dans les bois 

4,5,6 Cueillir ta cerise 

7,8,9 On fera le bœuf 

10,11,12 sur un bon vieux blues 

 

1,2,3 j’irai dans les bois 

4,5,6 Cueillir ta cerise 

7,8,9 On fera le bœuf 

10,11,12 sur un bon vieux blues 

Je veux tout

Jamais assez,  pas rassasié


Je veux tout voir mais pas demain

Jamais lassé, surexcité,

Je veux tout faire mais pas demain

 

La vie est courte, et je sens bien


Que le temps file entre nos mains

La vie est courte, tu le sais bien


Plus on avance, moins on va loin

 

Je veux !

Je veux tout

et pas qu’un peu !

 

Je veux nous

Je veux nous

Si tu le veux

 

Que du Rock, rien de sérieux

 

Toujours pressé, jamais posé


Je veux tout voir, tout et plus loin

Alors que tout peut s’arrêter


Je veux tout vivre sans lendemain

La vie défile, je cours en vain


À trop vouloir, on n'a plus rien

La vie défile, on le sait bien


Plus l’on s’égare, moins on revient

 

Je veux 

Je veux tout

et pas qu’un peu

 

Je veux nous

Je veux nous

Si tu le veux

 

Que du rock

Rien de sérieux

Paroles et musique : François Raffet / Xavier Louvet

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